Née d’une mère flamande et d’un père algérien, Attika dahri aime peindre depuis son enfance, depuis que même que ses petits doigts ont pu tenir un crayon de couleurs.
Comme Blaise Pascal disait toujours : « Le style c’est l’homme » cette artiste si fragile émotionnellement nous prouve que la femme aussi a son propre style à travers la toile.

C’est rien qu’avec les cercles et les lignes et des couleurs vivantes que Attika raconte à son public ses histoires et lui exprime son état d’âme. Plus profondément même, elle décrit le caractère de ses proches à travers ses travaux, d’où son tableau “ HIYA”, qui signifie elle en langue arabe et représente la personnalité d’une amie de l’artiste.
Quoiqu’elle sort de ses tripes comme expression artistique, Attika n’exploite jamais la sobriété dans ses tableaux afin de cadrer la critique dans l’espoir et la jovialité, car pour elle, il existe toujours une récompense qui nous attend au-delà de l’horizon.

Elle est ni Kandinsky ni Picasso ni Vincent Van Gogh ni même Edvard Munch le maître du chef d’oeuvre le Crie. Attika elle est elle même, elle est son instinct voyageur, une culture bipolaire et un talent qui s’inspire d’un réel immatériel, elle ne se mets jamais au centre du cercle yin-yang mais elle se ressource du soleil et de la lune. Un paradoxe parfait par excellence.
Sidi mohammed El Abbani

Notre correspondant
Journaliste d’investigation
Journaliste accrédité par l’Union Européene
Journaliste accrédité par le N.A.T.O
Bruxelles