
Le droit des républiques soviétiques de sortir de l’URSS ainsi que le monopole du pouvoir du parti communiste fixés dans la Constitution du pays ont joué un rôle de bombe à retardement, selon Vladimir Poutine.
Dans une interview accordée à la chaîne de télévision Rossiya 1 Vladimir Poutine a expliqué quelle bombe à retardement contenaient les Constitutions de l’URSS.
«En ce qui concerne la libre sortie de l’Union soviétique. La Constitution – celle de 1977 et les Constitutions antérieures – attribuait au parti communiste le monopole exclusif du pouvoir et le parti était le pivot du système d’État dans son ensemble. Rien n’était dit du droit de sortie du parti communiste [de l’Union soviétique, PCUS, ndlr] des représentants des différentes entités nationales. Il [le parti, ndlr] tenait tout», a-t-il révélé.
Selon lui, «au fond, le parti communiste a lié son propre destin et ses intérêts de groupe aux intérêts du pays».
«Lorsqu’il [le parti communiste, ndlr] a commencé à se disloquer de l’intérieur, sans aucun impact extérieur, le pays a commencé à lui emboîter le pas. C’est absolument inadmissible. C’est là une bombe à retardement posée dès 1922, l’année de la formation de l’Union soviétique, puis dans les Constitutions de 1924, de 1936 et de 1977. Nous devons éviter des choses semblables», a résumé le Président russe.

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