Une université belge met fin son accord avec le groupe terroriste FETO

Le ministère turc des Affaires étrangères a exprimé sa satisfaction samedi de la non-prolongation d’un accord établi en 2010 avec l’organisation terroriste FETO, sur la « Chaire Fethullah Gülen pour les études interculturelles »

Le Porte-parole du Ministère turc des Affaires étrangères a exprimé sa satisfaction, samedi, après la décision d’une université belge de ne pas prolonger son accord avec l’organisation terroriste FETO.

Selon l’accord établi en 2010 par l’Université catholique de Louvain (UCL) avec l’organisation terroriste FETO, une « Chaire Fethullah Gülen pour les études interculturelles » opérait au sein de l’université belge, en référence au chef de l’organisation terroriste FETO, auto-exilé aux États-Unis.

« Nous avons pris note avec satisfaction de la non-prolongation par l’Université de l’accord sur la soi-disant « Chaire » créée en 2010 au sein de l’Université catholique de Louvain (UCL) en Belgique, avec le soutien d’institutions affiliées à l’organisation terroriste FETÖ, suite à une évaluation effectuée dans le cadre des procédures de l’Université », a déclaré Aksoy, exprimant dans un communiqué, la satisfaction de la Diplomatie turque à l’égard de cette décision d’UCL.

L’organisation terroriste FETO et son chef basé aux États-Unis, Fethullah Gulen, ont orchestré le coup d’État vaincu du 15 juillet 2016 en Turquie, tuant 251 personnes et blessant plus de 2200 autres.

La Justice turque accuse FETO d’être derrière une campagne de longue haleine, visant à renverser l’État turc par l’infiltration de ses institutions, notamment de l’armée, de la police, ainsi que du système judiciaire.

La Justice turque accuse FETO d’être derrière une campagne de longue haleine, visant à renverser l’État turc par l’infiltration de ses institutions, notamment de l’armée, de la police, ainsi que du système judiciaire.

Paris (France) – Ümit Dönmez

Une université belge met fin son accord avec le groupe terroriste FETO

Le ministère turc des Affaires étrangères a exprimé sa satisfaction samedi de la non-prolongation d’un accord établi en 2010 avec l’organisation terroriste FETO, sur la « Chaire Fethullah Gülen pour les études interculturelles »

Le Porte-parole du Ministère turc des Affaires étrangères a exprimé sa satisfaction, samedi, après la décision d’une université belge de ne pas prolonger son accord avec l’organisation terroriste FETO.

Selon l’accord établi en 2010 par l’Université catholique de Louvain (UCL) avec l’organisation terroriste FETO, une « Chaire Fethullah Gülen pour les études interculturelles » opérait au sein de l’université belge, en référence au chef de l’organisation terroriste FETO, auto-exilé aux États-Unis.

« Nous avons pris note avec satisfaction de la non-prolongation par l’Université de l’accord sur la soi-disant « Chaire » créée en 2010 au sein de l’Université catholique de Louvain (UCL) en Belgique, avec le soutien d’institutions affiliées à l’organisation terroriste FETÖ, suite à une évaluation effectuée dans le cadre des procédures de l’Université », a déclaré Aksoy, exprimant dans un communiqué, la satisfaction de la Diplomatie turque à l’égard de cette décision d’UCL.

L’organisation terroriste FETO et son chef basé aux États-Unis, Fethullah Gulen, ont orchestré le coup d’État vaincu du 15 juillet 2016 en Turquie, tuant 251 personnes et blessant plus de 2200 autres.

La Justice turque accuse FETO d’être derrière une campagne de longue haleine, visant à renverser l’État turc par l’infiltration de ses institutions, notamment de l’armée, de la police, ainsi que du système judiciaire.

La Justice turque accuse FETO d’être derrière une campagne de longue haleine, visant à renverser l’État turc par l’infiltration de ses institutions, notamment de l’armée, de la police, ainsi que du système judiciaire.

Paris (France) – Ümit Dönmez